ROBESPIERRE (Maximilien). - Lot 279

ROBESPIERRE (Maximilien). Rapport fait au nom du Comité de Salut Public, sur les Rapports des idées religieuses et morales avec les principes républicains, et sur les fêtes nationales. Paris, Imprimerie Nationale, s.d. (1794). In-8 de (2), 45 pp., bradel cartonnage marbré moderne. Edition originale. Célèbre discours prononcé le 18 floréal an II (7 mai 1794) devant la Convention. Robespierre dénonce l'athéisme et proclame sa foi dans l'immortalité de l'âme et dans l'Etre Suprême, dont le culte sera adopté par décret du même jour. « L'idée de l'Etre suprême est un rappel continuel à la justice : elle est donc sociale et républicaine ». Les fêtes décadaires auront pour but de développer le civisme et la morale républicaine. Joint du même auteur : - Rapport sur les principes du gouvernement révolutionnaire, fait au nom du Comité de salut public. Bordeaux, Cavazza, s.d. (1793). In-8 de 8 pp., bradel cartonnage marbré moderne. Discours du 25 décembre 1793. Devant la Convention, Robespierre justifie la Terreur par l'état de guerre et ébauche la théorie du gouvernement révolutionnaire. Son but est de fonder la République, celui du gouvernement constitutionnel étant de la conserver. - Discours prononcé dans la séance du septidi, 7 Prairéal, an deuxième de la République une et indivisible. S. l.n. d. (1794). In-8 de 8 pages, bradel cartonnage marbré moderne. Discours prononcé après la tentative d'assassinat de Robespierre par Cécile Renault. On y trouve le passage célèbre : « J'ai assez vécu... ».